Je connais des boîtes qui ont toujours roulé avec des taux de plus de 50 % et qui s'en accommodent, même si la moyenne pour l’industrie tourne autour de 38 %. Pour certains, c’est ça le rythme. Le même que celui d'une campagne, comme un reflet de la volatilité de leurs clients.
Cela dit, les coûts engendrés par ce jeu de porte-tournante varient de 50 à 100% du salaire en lien avec le poste laissé vacant. Tout dépend des responsabilités assumées par le talent sortant, ainsi que de la relation qu’il entretenait avec ses clients. Sans compter le possible effet ricochet sur les collègues. Ces mêmes coûts augmentent quand on utilise les services d’un chasseur de têtes pour combler le vide. Sans parler des conséquences quand on manque de temps pour prendre en main la démarche d’embauche.

Si vous avez envie de vous pencher sur la question, passez ici.